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Rêve en grand

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LIFESTYLE

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2020 : ne garder que le meilleur avec Innocence Paris ✨

28/01/2021

Il y a des années où j’ai parfois l’impression que ma vie est sens dessus-dessous, qu’une vague de fond la traverse, que le chaos me met à bout de souffle. Je perds mes repères, beaucoup de pans de ma vie s’écroulent en même temps et je n’ai qu’une seule hâte : passer à la nouvelle année, dans l’espoir qu’elle soit plus belle, plus douce…

Mais avant de passer à cette nouvelle année 2021, j’ai voulu réaliser une introspection. Prendre un moment pour faire le tour de cette année 2020 qui vient tout juste de se terminer. Et pour cela, rien de mieux que de me replonger dans mes photos : vacances à Montréal juste avant le confinement, 5 jours en Corse en juin, un trek de 3 jours dans les Alpes, le GR20, des vacances à Saint-Georges, des vacances à Milos, un diplôme tant attendu… Mais attendez ! Elle n’est finalement pas si nulle cette année 2020 !

Imprimer mes précieux souvenirs avec Innocence Paris

Parce que ces instants de vie ne sont pas faits pour s’effacer ou s’oublier sur mon téléphone. J’ai fait le choix, comme pour 2019, de les imprimer dans une revue de 90 pages Innocence Paris. J’aime beaucoup l’idée de faire un album photo par année plutôt que par voyage ou évènement marquant. Cela me permet de me replonger sur cette année et de prendre conscience de la chance que j’ai eu de pouvoir vivre tous ces merveilleux moments. Si je vous parle d’Innocence Paris c’est parce que j’ai longtemps voulu imprimer mes photos sans jamais être convaincue des albums proposés par des sites comme Cheerz ou Lalalab… Je trouve la revue Innocence Paris très raffinée. J’aime beaucoup le papier mat, cela change du papier photo et ça permet un rendu très élégant ✨

Désormais, lorsque j’aurais envie de replonger dans 2020, j’aurais toutes ces photos pour me réchauffer le coeur ♡

Code promo de -20% et valable jusqu’au 28/02/2021 : LAURACPLR20

Merci d’être là,

Laura

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Mon avis sur Kazidomi : l’e-shop des produits sains et bio

22/05/2020

Depuis le confinement, j’en fais souvent mention dans mes recettes et mes stories Instagram : j’achète désormais une grande partie de mes produits d’épicerie sur l’e-shop KAZIDOMI qui propose des produits sains et bio avec 25% à 50% d’économie par rapport aux prix habituels en magasin bio. Vous avez été nombreux à me poser des questions, je vous partage donc mon avis sur Kazidomi. Avec en bonus un code promo Kazidomi de 20€ (LAURACPLR).

Qu’est ce que Kazidomi?

Le concept de Kazidomi est simple, tout est sain. Plus concrètement, c’est un e-shop qui propose près de 3.500 produits alimentaires sélectionnés avec soin dans l’objectif d’accéder à des produits sains grâce à une adhésion annuelle. En gros, pour 80 € par an (60€ avec le code promo), vous avez accès à des réductions allant jusqu’à 50% sur tous les produits du site.

Sain ? C’est-à-dire ?

Kazidomi met en avant un certain nombre de valeurs qui sont plutôt séduisantes :

➔ Certifié bio
➔ Sans gluten
➔ Sans sucre raffiné ajouté
➔ Sans lactose
➔ Producteurs de qualité

Le site refuse également un certain nombre de choses comme les :

➔ Ingrédients artificiels
➔ Graisses hydrogénées
➔ Ingrédients chimiques
➔ Colorants artificiels
➔ Origines non-vérifiées

Par ailleurs, l’achat sur le site permet de limiter au maximum le nombre d’intermédiaires et de garantir un prix plutôt juste au producteur puisque Kazidomi assure ne travailler qu’en direct avec les producteurs. C’est selon moi une bonne alternative aux supermarchés et à la grande distribution qui est très loin de fonctionner ainsi encore aujourd’hui.

Une section « zéro dechet » existe sur le site mais c’est principalement pour y trouver des accessoires nécessaires au mode de vie zéro déchet. Cependant, leurs colis et leurs produits ne contiennent que très peu de matières plastiques et ne sont pas sur-emballés.

Plus concrètement, comment ça marche ?

Kazidomi fonctionne avec une adhésion

  1. Créez votre compte sur Kasidomi pour découvrir les produits proposés.
  2. Ajoutez à votre panier l’abonnement annuel de 80€ qui vous permettra de bénéficier de réductions allant de -25 à -50%  sur une très large gamme de produits certifiés bio, sans gluten, sans sucre raffiné ajouté, cruelty free et provenant directement de producteurs de qualité pendant un an !
  3. Ajoutez mon code promo « LAURACPLR » qui vous offre 20€ de réduction sur votre abonnement Kazidomi. Ce qui vous fait l’abonnement annuel à 60€ au lieu de 80€.
  4. Parrainez à votre tour un ami ! Pour chaque nouvel abonné invité, vous recevrez un bon d’achat de 30€ à valoir sur Kazidomi 🙂
  5. Si vous n’avez pas économisé plus de 60€ au bout d’un an, vous pouvez la renouveler et vous faire rembourser la différence sous forme de bon d’achat. Quoi qu’il arrive, vous êtes gagnant !

Est-ce vraiment intéressant ?

C’est certainement LA question que vous êtes en train de vous poser, et je vous comprends !

Je dois vous avouer que j’étais moi-même un peu dubitative, voire presque méfiante face au concept de réductions permanentes. Mais les prix de base sont bien semblables à ceux que je vois dans les magasins bio près de chez moi, ce qui veut dire que les réductions sont bien réelles. Le montant de l’abonnement qui me semblait excessif de prime abord me semble finalement quand même très rentable au vu des économies déjà réalisées.

Pour vous donner une idée :

Admettons que vous réalisez 100 euros de courses par semaine (j’aime bien les chiffres rond aha), sachant que Kazidomi promet entre 25 et 50% de réduction, partons au plus pessimiste : tout est à -25%. Donc, dans la version la plus pessimiste qui soit, au lieu de payer vos courses 100 euros, vous les payez 75 euros !

➔ 25 euros d’économie par semaine
➔ 4 commandes dans le mois : 100 euros d’économisés

Bien évidemment, cela dépend avant tout de vos habitudes de consommation, de si vous avez l’habitude de consommer des produits bio, si vous êtes cœliaque, si vous suivez un régime particulier ou encore si vous êtes une famille de quatre personnes ou de si vous êtes un(e) étudiant(e). Dans tous les cas vous ne perdez rien à essayer, car si vous n’avez pas fait au moins 60€ d’économie après un an, Kazidomi vous rembourse la différence !

Mon avis sur l’e-shop Kazidomi :

Pour ma part, je suis vraiment conquise ! Je trouve à peu près tous les produits non-frais dont j’ai besoin dans mes placards, ce qui me permet de faire toutes mes courses « de fond ». Les produits proposés sont aussi bien des produits « basiques » (pâtes complètes, riz complet, céréales, lait d’avoine, thé…) que des trucs beaucoup plus tordus, que l’on ne trouve clairement pas dans le supermarché du coin (arrow-root, malate de citrulline, charbon actif, sel d’epsom…)

En espérant que cet article ait pu répondre à vos interrogations,

Merci d’être là,

Laura 

 

* Les photos d’illustration ont été prises sur le site Kazidomi.fr

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J’ai un rêve,
mais quel est mon plan ?

14/02/2020

Ce regard est né d’un appel du cœur, d’un rêve, devenu projet d’ascension. À 4 810 mètres, on ne s’improvise pas alpiniste… Alors, je m’informe et j’essaye de me préparer. C’est de ce rêve-là que m’est venue l’envie de vivre la Haute Route du Grand-Paradis cet été 2019 et c’est vers ce même rêve-là que je me dirige en cette belle année 2020.

Sur Instagram, vous êtes de plus en plus nombreux à me demander comment est-ce que je fais pour transformer mes rêves en réalité ?

Cela faisait bien longtemps que je n’avais rien publier par ici et je me suis dit que cette fameuse question était peut-être l’occasion d’y remédier.  Parce que c’est bien beau de vous partager mes rêves, de (plus ou moins) belles photos mais plus concrètement, comment est-ce que je fais ?

Je ne pense pas qu’il y ait de recette miracle, cependant je peux vous partager ma « manière de faire », vous livrer tout ce questionnement interne qui a précédé cette fameuse photo finisher ou ce sommet de 4000m publié sur Instagram.

Transformer son rêve en réalité (objectif)

Personnellement, j’ai toujours eu besoin de me fixer des objectifs à court/moyen/long terme, d’avoir un plan auquel me tenir et de m’imposer une discipline. Sans cela, j’ai l’impression que mon projet s’effrite et que mon rêve ne restera à jamais qu’un simple rêve… Notre subconscient (= notre petite armée psychique) a d’ailleurs BESOIN de recevoir des « ordres » de notre conscient pour pouvoir s’exécuter. Si je ne définis pas clairement mes objectifs, si je n’élabore pas un plan d’action précis et daté, comment puis-je me mettre en route vers la réalisation de mon rêve ?

Voici les questions que je me pose régulièrement :

Quel est mon objectif ?

Quelle est sa date de réalisation  ?

(Comme je vous le disais, notre subconscient, a besoin de recevoir un ordre précis ET daté de notre conscient pour pouvoir s’exécuter. D’où l’importance de définir une date de réalisation précise de votre objectif)

Pourquoi ce rêve, cet objectif est-il important pour moi ?

Quels obstacles m’ont empêchée jusqu’à présent d’atteindre cet objectif :

  • en moi ? (peurs, croyances, manque de confiance…)
  • à l’extérieur de moi ? (événements…)

Quels sont mes ressources et outils actuels pour atteindre cet objectif ?

Quelles capacités (physiques/psychiques) dois-je développer pour atteindre cet objectif ?

Qui peut m’aider ou m’accompagner dans ma démarche ?

Quel plan d’action suis-je prêt(e) à mettre en place pour atteindre cet objectif ? (= définir un plan d’action précis et daté à court, moyen et long terme)

Dream it. Plan it. Do it. Vous vouliez mon secret ? Vous l’avez.

Transformer son rêve en réalité, pour moi, c’est ça. C’est ce rendez-vous que l’on prend avec soi-même. Ce bon gros rendez-vous dont l’on ne ressort jamais indemne, car il nous pousse à nous interroger : « pourquoi est-ce que ce rêve est-il si important pour moi? », « dois-je m’entourer d’un coach perso ? », « d’un guide de haute montagne ? », ou bien, « est-ce que je dois faire tant d’économies sur une période de tant de temps ? »…

Puis, qui nous pousse dans nos retranchements, qui nous invite à nous questionner en toute objectivité : « sur quoi est-ce que je dois travailler ? », « ma résistance émotionnelle ? », « mon égo ? », « mes croyances limitantes ? », « mes peurs ? », « est-ce que j’ai besoin de me faire accompagner d’un sophrologue ? d’un préparateur mental ou encore d’un psychologue ? »

J’ai un rêve, un objectif, ok. Mais quel est mon plan ?

 

Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis.

– Edgar Allan Poe

Comme toujours, prenez ce qu’il y a à prendre et laissez ce qu’il y a à laisser.

Croyez en votre capacité à réaliser votre rêve, restez souple et ouvert et surtout, persévérez 🏔✨

Merci d’être là,

Laura

 

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Les bienfaits du Yoga

27/11/2019

J’ai commencé le yoga en septembre 2018 à raison d’1h30 par semaine, en cours, tous les lundis soirs. Pourquoi le Yoga ? Parce que je reprenais doucement le chemin de l’entraînement et que je savais qu’une nouvelle préparation Ironman m’attendait pour la saison 2018/2019. Lorsque je me suis inscrite à ce cours, je cherchais simplement à mieux récupérer de mes semaines d’entraînement. Je voulais également prendre soin de mon corps. Ce n’est un secret pour personne, une préparation physique Ironman, ça peut laisser quelques traces…

Au fil des mois de pratique, j’ai eu la chance de découvrir les bienfaits du yoga… Qui s’étendent bien au-delà du simple corps physique.

Les bienfaits de l’ashtanga vinyasa yoga

Sur le corps physique

Oubliez tout ce que vous avez pu lire dans les magazines féminins : « abdos, corps tonique et souplesse de rêve ». Il est vrai que la colonne vertébrale, les articulations et les muscles, sont sollicités, étirés et déliés. J’ai effectivement gagné en souplesse et en tonus musculaire.

Cependant, les organes sont également massés par la respiration et les différentes postures. La respiration complète, qui est censé être pratiqué tout du long de la séance, masse et détend le diaphragme ainsi que le plexus solaire ce qui entraine une régulation du rythme cardiaque. Ainsi, à la fin du cours, mon corps est à la fois détendu et re-dynamisé.

Sur le corps psychique

Pour moi, le Yoga est désormais un véritable « mode de vie ». Le Yoga me permet de me focaliser sur ma respiration. Ainsi, j’apprends à lâcher prise, à accepter les choses comme elles s’offrent à moi, à être dans l’ici et maintenant, ce que l’on nomme aussi, le fameux « moment présent ». Progressivement, l’apaisement qui en découle amène un état d’harmonie-équilibre et de sérénité.

Le fait de me focaliser sur le ressenti de mon corps physique lors des différentes postures m’amène à une meilleure écoute et connaissance de mon corps, de ses besoins ainsi que de ses limites. Libérée de la volonté de réussir la posture à tout prix, concentrée sur ma respiration, mon mental s’apaise et les tensions disparaissent. Plus largement, le yoga m’apporte une aide significative faces aux difficultés de mon quotidien et d’y faire face de façon plus sereine.

Vous l’aurez compris, le yoga c’est pour moi plus qu’un effet de mode ou une simple séance de stretching… il m’apprend à contrôler mon corps ET mon esprit, ainsi que de traiter mon corps avec amour et respect.

Merci d’être là,

Laura

TAGS:Yoga
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Zéro Déchet : par où commencer ?

28/10/2019

Tout d’abord, la grande question : pourquoi je pourrais bien vouloir changer de mode de vie ? De passer d’un mode de (sur)consommation sans « prise de tête » à un mode de vie qui est sur le papier, bien plus contraignant (vers le zéro déchet) ? Et puis, c’est quoi l’intérêt de tout cela ? Est-ce une mode plus qu’un mode de vie ? C’est bien mignon tout ça, mais les déchets, ça se recycle ! Non ?

SURPRISE !

Et bah non, pas des masses.. Pour vous donner une toute petite idée de la réalité : « sur les 8,3 milliards de tonnes de plastique produites dans le monde, seules 9% ont été recyclées » selon un document de Science Advances de 2017 intitulé « Production, use, and fate of all plastics ever made ».

Alors, même si de nos jours, vivre sans aucun déchet reste une utopie, je vous l’accorde. Je pense (et ce n’est là que mon point de vue), que nous pouvons tout de même réduire considérablement notre impact environnemental, en consommant autrement.

Le zéro déchet, concrètement, qu’est-ce que c’est ?

 

 « Le meilleur déchet, c’est celui qu’on ne produit pas. »

Le zéro déchet est un mode de vie qui vise à réduire au maximum sa production de déchets, jusqu’à ne plus en produire du tout, ou très très peu. Dans les faits, chacun a plus ou moins sa propre définition du zéro déchet. Pour ma part, il s’agit d’essayer (et je dis bien essayer) d’adopter un mode de vie moins néfaste pour la planète qui nécessite de repenser ma façon d’acheter et de consommer.

 

Par où commencer ?

Les 5 règles du zéro déchet :

1 = Refuser

« Le concept de refus est basé sur le pouvoir de la collectivité : si nous refusons tous les échantillons d’hôtel, ceux-ci ne seront plus proposés »

La première règle consiste donc à refuser ce dont nous n’avons pas besoin, tous les produits à usage unique ou encore toutes les petites breloques du quotidien comme les échantillons gratuits, les sacs plastiques au supermarché, les pailles en plastique au restaurant ect. Pour cela, il faut apprendre à dire « non merci » et il est vrai que ce n’est pas toujours facile. Mais avons-nous vraiment besoin d’un 20ème stylo publicitaire ou d’un 30ème échantillon de fond de teint qui ne nous correspond pas ?

C’est valable dans notre vie quotidienne, mais aussi sur les évènements sportifs : avons-nous vraiment besoin de dévaliser les ravitos pour des barres énergétiques que nous n’allons jamais consommer ?

Ou encore sur les réseaux sociaux où nous sommes de plus en plus tentés de tester tel ou tel produit et je dois avouer que j’en suis la première concernée ! Et c’est vrai : il n’est pas toujours facile de dire « non merci »… C’est pourquoi je me pose toujours cette question avant d’accepter des cadeaux de la part des marques ou des partenariats : « est-ce que j’en ai vraiment besoin ? »

2 = Réduire

La deuxième règle du zéro déchet consiste à se séparer de tout ce dont nous n’avons pas réellement besoin. Pour cela, j’ai personnellement commencé par trier et désencombrer ma maison de fond en comble ! J’ai commencé par ma chambre, puis ma salle de bain puis la cuisine et je dois être honnête, j’ai été plus que surprise de voir touuut ce que j’étais capable de garder alors que je n’en avais même pas besoin et que je ne m’en servais jamais. Heureusement que j’étais seule lors de ce désencombrement, car j’aurais bien eu envie de me cacher tellement j’en avais honte.

L’intérêt n’est donc pas de re-remplir mes placards, mais bien de repenser ma manière d’acheter afin de modifier mes habitudes de consommation : privilégier la qualité et la durabilité à la quantité, cesser d’acheter ou accepter des vêtements et des objets dont je n’ai pas réellement besoin ect.

3 = Réutiliser ou réparer

La troisième règle consiste à réutiliser tout ce qui peut avoir une deuxième vie. Nous pouvons, par exemple, réutiliser des bocaux en verre pour y mettre des aliments acheter en vrac : plutôt qu’acheter de la compote de pommes en 4x petits pots en plastique, nous pouvons acheter sa version maxi pot en verre et réutilisez ce pot en verre pour y mettre notre quinoa acheté en vrac ou de la compote de pomme fait maison.

4 = Recycler

La quatrième règle du zéro déchet consiste à recycler tout ce que nous ne pouvons ni refuser, ni réduire, ni réutiliser ou réparer. À ce stade, il n’est plus supposé resté grand-chose et il ne reste donc plus qu’à trier ses différents déchets. Pour cela, il faut se renseigner sur les consignes de tri de notre propre ville.

5 = Composter

Enfin, la dernière règle consiste à composter tout le reste : les déchets organiques. C’est ma règle manquante, celle que je n’ai pas encore appliquée. Je reviendrais donc faire un update de ce coté-là une fois le compost mis en place 🙂

Respecter la progressivité

Si je n’avais qu’un seul conseil à vous donner ce serait celui-là : allez-y progressivement, à votre rythme ! L’Homme étant un être d’habitudes soumis à des normes sociales, il n’est donc pas toujours facile de tout changer d’un coup et ça tombe bien car le « zéro déchet », c’est avant tout le résultat de plusieurs années de patience et d’investissement personnel. Cela ne sert à rien de se mettre une pression monstre, nous avons tous des rythmes de vies différents, des moyens financiers différents ect.. Le tout est d’adopter ce nouveau mode de vie dans le respect de nos propres possibilités !

 

Mes premiers pas vers le zéro déchet

 

Bouteille en verre et gourde en Inox

Fini les bouteilles en plastique, bonjour la gourde en Inox ! Suite à vos conseils sur Instagram, j’ai choisi une gourde de la marque Qwetch, cela fait plus d’un mois que je l’utilise et j’en suis très contente. À la maison, c’est carafe d’eau + bâtons de charbons de bois pour filtrer l’eau du robinet que je trouve chez Zodio ou chez Nature & découverte. Les bâtons de charbons de bois ont une durée de vie de 6 mois (3 mois + 1 réactivation dans l’eau bouillante qui permet de filtrer l’eau jusqu’à six mois)

Le vrac

J’ai commencé à acheter en vrac tous les aliments secs que je réussis à trouver (quinoa, lentilles, poids chiche, amande, noisettes ect). Pour cela, j’ai des sacs en tissus (qui me servent également pour les fruits et légumes) que je remplis au magasin (bio, primeur ect) et une fois rentrée à la maison je remplis mes bocaux en verre.

Bee Wrap

Pour en finir avec l’aluminium ou le cellophane et pour recouvrir nos plats ou bien pour transporter nos biscuits maison, nous avons fabriqué avec Maxou des « bee wrap », pour cela, rien de plus simple :

  • Il vous faut des morceaux de tissus en coton
  • De la cire d’abeille en pépite achetée en magasin bio ou en direct chez un apiculteur (coucou Apirun)
  • Du papier cuisson (à conserver pour la fabrication des bee wrap, il se réutilise)
  • Préchauffer votre four à 80 °C (mode : maintient au chaud)
  • Mettre le tisss sur la plaque du four + saupoudrer par-dessus les pépites de cire d’abeille (Il ne faut pas recouvrir tout le tissu mais en mettre de façon homogène, en n’oubliant pas les coins. Un seul côté suffit car la cire en fondant va pénétrer le tissu)
  • Au four pour quelques petites minutes (2-3) en surveillant bien
  • Dès que la cire est entièrement fondue,  retirer le tissu en le tenant par les deux coins. Tenez-le à la verticale pendant 1 min (la cire refroidie très vite)

Contre-indication : attention, ne pas emballer directement dans un bee wrap des aliments crus (viande, poisson…)

Salle de bain : savon solide et brosse à dent en bambou

Du côté de la salle de bain, j’ai remplacé mon savon par un savon solide et surprise : ma peau s’en porte à merveille ! Ayant une peau très sensible j’en avais peur mais il faut croire qu’un savon solide bio 100% naturelle est bien mieux pour ma peau que n’importe qu’elle savon liquide sous plastique avec une accroche marketing de folie !

J’ai testé la marque Pachamamaï (toujours grace à vos conseils sur Instagram) pour les shampoings. Il est encore trop tôt pour en faire un retour définitif et pour être à 100% honnête le prix me freine un peu pour le long terme.

Toujours côté salle de bain, j’ai remplacé nos brosses à dents par des brosses à dents en bambous que j’ai acheté sur le site Organic Basics en même temps que ma commande de basics.

Prochaine étape, une fois le dentifrice fini : le remplacer par un dentifrice solide. En revanche, je me vois mal dire adieu aux produits de soin type crème hydratante ect

Textile : découverte d’Organic Basic

Alors non, ce n’est pas du zéro déchet ! Mais dans l’idée d’essayer de réduire et de favoriser la qualité à la quantité, je me suis tournée vers Organic Basic lorsque j’ai dû renouveler mes basiques : sous-vêtement et tee-shirt blanc. Organic Basic utilise uniquement des matériaux certifiés biologiques, recyclés et à faible impact.

Depuis sa création, la marque a évité 2,43 tonnes* de gaspillage, 29,23 tonnes* de produits chimiques, 1991 GJ* d’énergie, 163 tonnes* d’émission de CO2 et 3002 m³* d’eau par rapport aux pratiques traditionnelles(*).

Et ce n’est pas fini…

Vous l’aurez compris, je ne suis qu’aux prémisses d’un mode de vie zéro déchet. Il me reste encore tant à faire, mais je suis déjà hyper contente de toutes ces petites actions mises en place car elles ne sont pas négligeables aussi bien pour mon quotidien que pour l’environnement. Je suis humaine et parfaitement imparfaite, j’ai encore beaucoup de choses à découvrir et je ne vous le cache pas : je risque de succomber à encore pas mal de produits sous plastique. Je préfère être honnête.

Rester indulgent et bienveillant

Je dois avouer que lorsque je me suis mise à écrire cet article, j’ai eu peur. Peur de me faire réprimander au moindre faux pas sur Instagram ou ici-même sur le blog. Je suis loin d’être parfaite et d’avoir un mode de vie ou de consommation parfait, ça c’est certain. Mais j’essaie de faire de mon mieux, à mon rythme et avec les moyens que j’ai en ma disposition. Si j’ai écrit cet article ce n’est surement pas pour vous faire la leçon, mais plus dans le cas où vous vous demanderez ce qu’est le zéro déchets et/ou comment commencer ? J’espère avoir su répondre à vos questions. N’oubliez pas que les étapes se franchissent petit à petit et que les prises de conscience sont propres à chaque individu = nous ne pouvons pas forcer une prise de conscience.

 

Pour être honnête, je pense qu’il me faudra plusieurs années avant de me défaire de toutes mes mauvaises habitudes, de ne plus craquer pour tel ou tel produit et de réellement vivre avec le moins de déchet possible. En attendant, je prends vos conseils et de vos suggestions en commentaires dans la mesure où ils sont apportés avec indulgence et bienveillance 🙂

Merci d’être là,

Laura

 

TAGS:ZÉRO DECHET
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LIFESTYLE / Sport / Triathlon

Comment j’ai fait pour gérer la prépa Ironman, le travail , les cours et ma vie perso ?

20/09/2019

C’est un secret pour personne, une prépa Ironman ça prend beaucoup (mais alors beaucouuup) de temps. Pendant huit mois, deux années de suite, ma vie a été rythmé par mes prépas Ironman.

Avant de poursuivre cet article, je tiens à préciser que ce que je vous partage ici, ce n’est que ma « manière de faire ». Nous avons tous notre manière de gérer notre prépa et c’est tout à fait normal puisque nous sommes tous différents ! Donc encore une fois, prenez ce qu’il y a à prendre et laissez ce qu’il y a à laisser 🙂

Premièrement, en ce qui concerne la prépa Ironman en elle-même :

Pour ma prépa Ironman de Nice et ma prépa Ironman Vichy, j’ai fait appel à un coach à distance afin d’avoir des entraînements adaptés à mon niveau, mais aussi et surtout à mon emploi du temps et donc à mes contraintes pro/perso.

Plus concrètement, chaque semaine, je donnais mes disponibilités à Ben pour la semaine suivante. Exemple : le mardi de 16h30 à 18h30 je suis disponible pour : natation / home traîner / course à pied. À partir de ce planning-là, Ben me préparait mon planning d’entraînement en respectant mes disponibilités.

Honnêtement, je pense que c’est ce rétro-planning-là qui m’a permis de réussir à tout conjuguer. Mes entraînements étaient adaptés à mes contraintes et chaque semaine, je savais exactement à quoi m’en tenir. Je savais même une semaine à l’avance ce que j’allais avoir comme entraînement.

Ça m’a permis de créer une « routine » de vie, car du mardi au vendredi j’avais 1h-1h30 max d’entraînement par jour, toujours l’après-midi en rentrant du travail et le week-end c’était souvent la même chose : une séance de Home-Trainer qualitative l’hiver et une sortie plus ou moins longue de vélo l’été un jour + une séance de course à pied l’autre jour.

Lorsque l’on sait à quoi s’en tenir, c’est plus facile de planifier ses projets personnels par la suite !

L’autre avantage du coaching perso, c’était de pouvoir être complètement libre. Je n’avais pas à me plier à des horaires « rigides » comme en club ce qui me permettait de rester quand même assez flexible. Je n’avais aucune raison de stresser. Si je n’étais pas la piscine à 16h30, ce n’était pas grave, je commençais la séance 15-30-45 min plus tard et c’était ok.

Enfin, avec Ben, on faisait du travail qualitatif et non quantitatif. Sauf en fin de prépa ou bah pas le choix que de faire des sorties de 6h de vélo… Mais globalement, ça m’a permis de me dégager énormément de temps ! L’hiver je m’entraînais entre 6 et 10h par semaine et l’été entre 10 et 15h, donc honnêtement, ça va !

P.S : vous vous doutez bien que la photo n’est pas contractuelle aha

Deuxièmement, le travail et l’école :

Il faut savoir que pour mes deux préparations Ironman j’étais en alternance. Donc, j’avais également des semaines de cours et en plus, des journées de formation. Oui parce qu’une prépa Ironman + un master ce n’est pas suffisant lol… Bref, ce n’est pas le sujet aha

Le travail

J’étais en entreprise trois semaines par mois. J’avais parlé de mon projet Ironman de Nice dès mes entretiens d’embauches en mai/juin 2017. Je savais que cette prépa allait être énergivore et que l’Ironman me demanderait de poser des congés à des dates précises donc je voulais que tout soit « Ok » de ce côté-là avec l’entreprise. Grace à ça, j’ai également pu aménager mon temps de travail ! Ce qui m’a permis de commencer mes journées tôt (7h30) et de finir tôt (15h30-16h). Mes collègues, qui étaient complètement emballés par mon projet sportif faisaient même attention à ne jamais me mettre de réunions après 16h hihi donc je peux dire que de ce côté-là, je n’ai eu aucun problème !

Mais, parce qu’il y a un « mais », j’avais entre 2h30 et 3h de trajet aller/retour par jour ! Donc quand je partais à 15h30 du bureau, je pouvais espérer pouvoir m’entraîner vers 17h seulement. Puis, vous vous doutez bien que pour être à 7h30 le matin au bureau je devais me lever tôt, trop tôt.

J’ai donc vite compris que si je voulais pouvoir suivre le rythme de ces préparations Ironman, je devais caler ma vie personnelle sur le même tempo que ma vie pro. En gros, je dinais tôt (18h30/19h) pour avoir le temps de digérer et de dormir tôt, vers 21h environ. En période de prépa Ironman j’ai besoin de beaucoup d’heures de sommeil, entre 8 et 9h par nuit.

C’est donc ce rythme de vie « particulier » qui m’a causé le plus de « difficultés » pour réussir à tout conjuguer avec ma vie perso. Quand j’allais me coucher, mes parents et mon frère, eux, passaient à table. C’était assez bizarre pour moi d’avoir un autre rythme de vie que celui de ma famille.

L’école

Lorsque j’allais en cours, je pouvais reprendre un rythme de vie « normal » ! De ce côté-là, je l’ai très bien vécu. Alors oui, je n’allais pas « boire un verre » après les cours mais honnêtement ça ne m’a jamais dérangé, car je préférais m’entraîner !

En ce qui concerne ma formation, mes devoirs, mon mémoire ect… Je me suis simplement organisée en me bloquant des heures de « travail » le week-end. Cela ne m’a jamais posé de problème, car aussi étrange que cela puisse paraitre j’aime bien ça ! Je n’ai jamais eu l’impression de travailler à proprement parlé.

 

Troisièmement, la vie perso :

Ma famille

La vie perso ça a été l’aspect le plus difficile à gérer. Lorsque j’ai annoncé à mes parents que j’allais participer à l’Ironman de Nice, ils n’y croyaient pas (ou bien ne voulaient pas ?) y croire. Mais surtout, ils ne voulaient pas en entendre parler. Au tout début de ma première prépa (Nice) ma mère ne comprenait pas pourquoi je ne venais plus à tous les repas de famille ou pourquoi je me couchais si tôt en semaine et le week-end quitte à louper ces moments de partage et elle me le reprochait, n’hésitant pas à jouer la carte de la culpabilité.

J’avais beau expliquer mon projet, le « pourquoi » ça ne servait strictement à rien puisqu’elle n’était pas prête à en entendre parler. J’ai donc dû continuer ma prépa, « seule » et m’adapter à mon nouveau rythme de vie.

C’est seulement en me voyant m’entraîner, semaines après semaines, mois après mois, quel que soit les conditions climatiques, que mes parents ont fini par mesurer l’importance de ce défi pour moi. Et ce n’est que lors de mon dernier « gros » week-end d’entrainement pour l’Ironman de Nice (6h de vélo le samedi et 2h30 de course a pied le dimanche) que ma mère s’est dit « je ne peux pas louper ça ». Elle a donc pris ses billets de train et elle était là le jour j.

Ma deuxième prépa c’est donc forcément mieux passé de ce côté-là. Je pense qu’il faut simplement continuer, faire les choses pour soi et laisser le temps à nos proches de digérer nos défis.

Maxou

Ma vie de couple n’a pas été tant impacté que ça par mes prépas Ironman. Maxou fait aussi du triathlon et comprend très très bien le rythme de vie que demande d’avoir ce type de préparation sportive. Pour l’Ironman de Nice, il était également en prépa Ironman donc on se comprenait. Pour l’Ironman de Vichy, il a pu m’accompagner sur certaines séances vélo et natation. Ça nous à permis de partager de bons moments ensemble 🙂

Les copains

En ce qui concerne les copains, les soirées ect… J’ai des amis qui font aussi du triathlon donc cela aide énormément ! Ils comprennent et sont d’un excellent soutien. Puis entre nous, je n’ai jamais aimé « aller en boite » ou quoi alors ce n’est pas le genre de soirée qui me manque aha

Que ce soit ma famille, mes amis ou Maxou, j’ai dû apprendre à dire « NON » et à m’autoriser à faire ce que je voulais vraiment faire, pour moi. Avec le recul, je pense que le vrai défi, il est là.

 

Et les vacances dans tout ça ?

Ça fait partie des choses les plus difficiles pour moi : ne pas partir en vacances pendant mes prépas Ironman ! J’ai eu la chance de beaucoup voyager dans mon adolescence, du coup ça m’a énormément manqué. Encore une fois, c’est vraiment propre à chacun… Certains n’hésitent pas à prendre des vacances quitte à ne pas rouler pendant deux semaines ! Personnellement, je ne pouvais pas me permettre de louper des séances d’entraînements. Je venais de si loin à vélo et à pied, ce défi était si hors norme pour moi que je ne pouvais (ou ne voulais ?) pas ne pas mettre toutes les chances de mon côté pour y arriver.

Pour ma deuxième prépa, je m’étais quand même autorisé la haute route du grand paradis > et ça m’avait fait un bien fou 🙂

Est-ce que ce sont des sacrifices pour autant ? Non, pas pour moi. Ce sont mes choix. Des choix que j’ai fait en conscience et en cohérence avec mes aspirations, mes envies, mes rêves. D’ailleurs, je ne me suis rarement dit « il faut que » ou « je dois » mais plus « j’ai envie de » ! Je vais être honnête, pour rien au monde je n’échangerais ce que je me suis autorisé à vivre ces deux dernières années !

Voilà, si je n’avais qu’un seul conseil à vous donner, ce serait celui-ci : autorisez-vous à vivre votre rêve !

Il n’y a pas de bonne ou mauvaise manière de gérer une prépa, il n’y a que celle qui vous convient. Faites les choses pour vous, en cohérence avec ce que vous êtes vraiment et vos aspirations profondes, le reste suivra.

Merci d’être là,

Laura

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« Tu as de la chance »

12/09/2019

Je suis en bonne santé, comblée et épanouie. J’ai effectivement eu la chance d’avoir des parents suffisamment ouvert de cœur et d’esprit pour ne pas demander à un poisson de grimper à un arbre. Pour tout le reste, pardon, mais j’ai trop souffert de cette phrase dans mon adolescence pour la laisser prospérer aujourd’hui.

Non, ça n’a pas grand-chose à voir avec la chance

J’ai travaillé dès que j’ai été en âge légal de pouvoir le faire : baby-sitting, job d’été, job étudiant et alternance. Pendant ma troisième année de licence j’ai dû jumelé mon stage de six mois + un job étudiant. Je faisais parfois des semaines de plus de 55h sans un seul jour OFF dans la semaine. Ces deux dernières années, j’ai jumelé mon master et mon alternance à 3H (aller/retour) de trajet de chez moi avec une préparation Ironman. Une préparation que je vous ai partagé avec passion ici et sur Instagram. En plus de cela, j’ai fait le choix de commencer ma formation de sophrologue (en parallèle de mon master).

Aujourd’hui, Master 2 en poche, je refuse un CDI et un salaire plus que confortable. Je prends mon courage à deux mains avec mes petites économies sous le bras pour faire le grand saut de l’inconnu : reconversion pro à 24ans, voyages, déménagement d’ici fin 2020 sur l’île de beauté, tour du monde. Je fais le choix de croire en mes rêves.

La chance sourit aux audacieux

Audacieuse ? Courageuse ? Naïve ? Probablement un peu des trois, mais surement pas chanceuse. Est-ce que j’ai peur ? Oui. Mais, l’adage dit « la chance sourit aux audacieux » et ça tombe bien car je préfère faire confiance aux papillons que j’ai dans le ventre.

J’ai envie de croire que ce sont nos choix et nos réactions faces aux coups de pieds de la vie qui donnent lieu à une bascule décisive. Les malheurs, j’ai compris bien trop petite que l’on ne pouvait pas les empêcher. En revanche, il nous appartient de décider si ça s’arrête là pour nous ou si nous avons la possibilité d’en faire une expérience constructive.

La gratitude, ma « carte chance »

Je n’ai pas été épargné par le sort, loin de là. Mais aussi surprenant que cela puisse paraître, je m’en estime chanceuse. Car aujourd’hui, j’apprécie le simple fait de me lever chaque matin et de pouvoir mettre un pied devant l’autre pour pouvoir vivre cet incroyable voyage que nous appelons la vie.

La gratitude, c’est ce qui, chaque jour, fait de moi une meilleure personne. La gratitude c’est savoir dire MERCI. Merci la vie pour chaque moment qui a conduit à ce jour. Merci pour les moments difficiles, ils m’ont appris a apprécier les bons moments. Merci pour les leçons, elles étaient nécessaires à mon développement & merci de m’avoir donné le courage de traverser les moments difficiles. Merci pour les joies. Merci pour mes rêves et mon insatiabilité. Merci pour aujourd’hui, pour demain.

Gardez à l’esprit que « peu importe ce qui nous arrive, la vie c’est toujours ce que l’on décide d’en faire »

Merci d’être là,

Laura

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«Non-contractuelles »
La vérité sur mes photos Instagram

04/05/2019

Aujourd’hui, je vous partage un article qui me tient à cœur. Avec la superficialité qui domine souvent les réseaux sociaux et le monde des blogueurs, je souhaite de mon côté être la plus authentique possible. L’authenticité, ça passe aussi par-là, par vous dire que NON, mes photos Instagram, ne sont pas contractuelles. Elles ne traduisent pas la réalité d’un instant T. Dans ce monde où l’on est sans cesse connecté, de mon côté, j’ai fait le choix de me déconnecter. Je ne partage pas certains instants de vie afin de me reconnecter avec moi-même. Mais je vous rassure, ma vie comme mes séances d’entrainements ne sont pas toujours aussi glamour que mes photos Instagram. Je vous explique.

Génération réseau sociaux

Toujours connectés, disponibles, prêt à réagir, à vif. Les notifications smartphone s’activent même sur les montres d’entraînements. Quasi-impossible de déconnecter, de s’offrir un moment à soi, rien qu’à soi. Entre amis, les gens sont plus envoutés par leur téléphone ou plus précisément par les activités plus excitantes des autres, en apparence seulement que par le moment qu’ils sont en train de vivre. Toujours connectés, disponibles, sans l’être vraiment.

Nous envions la vie des autres avant de profiter de notre propre vie comme nous nous permettons de juger la vie des autres avant d’entamer un travail sur nous-même. Nous sommes la génération des réseaux sociaux.

 

Paradoxe, quand tu nous tiens

Voilà le problème (selon moi) : On tient tellement à partager l’authenticité du moment présent, que l’on oublie d’être nous-même présent à l’authenticité de l’instant.

C’est un fait, nous sommes constamment connectés. Paradoxalement, nous sommes la génération la plus déconnecté de tous les temps, de la réalité, de la magie, de l’instant, de la vie. Nous sommes des êtres sociaux : nous postons, nous partageons, nous échangeons, nous commentons. Pourtant nous sommes plus antis sociaux que jamais. Nous vivons à travers ce filtre de technologie. On passe plus de temps à liker un post ou porter un jugement sur la photo et le bikini de mme X sans la connaitre vraiment, que de regarder nos proches dans les yeux ou d’offrir un sourire à une personne dans la rue.

« Lâche ce putain de téléphone »

J’ai beau avoir un certain nombre d’abonnés sur mon compte Instagram, vous seriez cependant surpris de voir le peu de temps que je passe sur mon téléphone par jour.

Sur mon compte Instagram, je vous ai beaucoup parlé de sport et de mon rêve d’Ironman. Mais lorsque je m’entraine, lorsque je m’en vais fouler le bitume, je m’offre PLEINEMENT ce moment. Je suis là, concentré dans l’intensité de l’effort. Je me dois de me présenter physiquement à l’entrainement mais je pense qu’il est tout aussi important de m’y présenter mentalement. Lorsque je fais quelque chose, j’essaie de me déconnecter de TOUT sauf du moment que je suis en train de vivre. Une sorte de « bulle » de concentration où seul le moment présent compte.

Hors de question pour moi de faire une séance de course à pied par exemple en pensant à la photo que je vais pouvoir faire pour sublimer mon feed Instagram. Il existe pour moi, un temps pour chaque chose. Un temps pour nager, pédaler, courir, partager et un temps pour faire des photos.

Une chose à la fois

Lorsque je suis à l’entrainement, je suis pleinement concentré sur l’exercice physique. C’est-à-dire, que je suis totalement immergé dans ce que je suis en train de faire. Je sors du passé et du futur, je suis juste là. L’idée, vous l’aurez compris, est de me rendre plus présente à ma propre vie, avec ma personne intime et non à mon image sociale.

Donc 90% des photos Instagram que vous voyez sur mon compte proviennent de « séances photos » amateurs. C’est-à-dire qu’avec Maxou on se dit « tiens, et si on faisait des photos cette après-midi ? » De là, on choisit un lieu où les prendre et puis let’s go ! Ce moment où l’on prend des photos, c’est notre moment. C’est une activité que l’on a choisi de faire/vivre ensemble parce que l’on aime ça et que ça nous amuse. Un peu comme deux ados du club photo du collège.

J’ai fais des études d’art (arts appliqués, pour ceux qui connaissent) puis de communication visuel avant de prendre un grand virage à 180°. Tout ça pour vous dire que prendre des photos et tester différents presets dans lightroom, personnellement ça m’amuse vraiment et je le vis comme une activité « ludique » comme certains pourraient s’amuser à faire de la patisserie.

Je vous rassure, je suis humaine, comme tout le monde et ce que je vous dis là, ça n’a pas toujours été le cas. Je ne prétends pas non plus avoir raison ou avoir tout compris sur la vie.  Mais aujourd’hui, si je cours, je cours, si je mange, je mange, si je fais des photos, je fais des photos et si j’écris des textes, j’écris des textes. C’est le choix que j’ai faits : une chose à la fois pour être pleinement présente à l’authenticité de l’instant.

Maintenant, est-ce que cela m’empêche de vous partager du contenu authentique ? Des textes qui ont du sens ? Assurément non. Je post, partage avec ma sensibilité. Je partage la vie telle que je la vois : une opportunité de tirer le meilleur parti de notre temps sur cette planète. Cela ne m’empêche pas de vous montrer que personnes n’est parfait, que les hauts et les bas font partie de la vie et qu’en fin de compte, peu importe ce qui nous arrive, la vie c’est toujours ce que l’on décide d’en faire.

 

Lorsque vous avez fini de lire cet article

Une fois que vous avez fini de lire cet article, je vous invite à faire une chose un peu folle en 2019 : éteignez votre téléphone. Oui, vous avez bien lu, éteignez-le. Vous avez tant d’intérêts, ne perdez pas vos minutes à passer sans but d’une photo Instagram à l’autre sur votre téléphone. Vous avez  temps de ressources, de talents, ne les gâchez pas en utilisant que la moitié de votre potentiel. Prenez votre moment à vous. Prenez conscience de VOTRE vie.

J’espère qu’un jour, en regardant en arrière, vous pourrez vous souvenir d’aventures, de rires et d’une connexion profonde avec la vie. J’espère qu’un jour vous aurez bien plus à montrer au monde que votre feed Instagram.

Laura

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